Dans la vallée de la Vienne
Au pied de la forteresse de Chinon coule la Vienne.
Les prairies, lorsque le vent se fait oublier, sont baignées de brumes matinales.
Avant que l’agitation humaine prenne place, le soleil réveille les habitants des bocages : chevreuils, lièvres et…quelques troupeaux de vaches.
“Les vaches qu'on aime, on les mange quand même” chantait ce cher Alain Souchon.
Alors pour une fois, je souhaitais rendre hommage à ces mignonnes.
Même si les fils barbelés gâchent un peu l’harmonie, elles ont fière allure dans ce décor.
Dans un autre pays, parait-il qu’elles sont sacrées…